Après une absence forcée pendant quelques temps (je n'avais plus de PC), me voilà de retour sur le blog, pour vous parler ce coup-ci du nouveau hit d'Overkill, Payday 2.
Suite du premier Payday: The Heist, le jeu reprend l'excellent concept de son prédécesseur, ainsi que la fine équipe de braqueurs, pour vous proposer de nouveaux défis.
Au programme donc, de nouveaux scénarios plus variés, une difficulté croissante, des graphismes remis au goût du jour...beaucoup de nouveautés en somme.
Au niveau du gameplay, c'est relativement simple. Pour les scénarios de braquage, tout se déroule en trois étapes (deux si vous êtes fortiches).
- Arrivée sur les lieux, repérage/récupération de matériel.
- Braquage/ infiltration/sécurisation du site (gardes et matériel de surveillance out)
- Si jamais l'alarme se déclenche, assauts policiers de plus en plus violents.
La première phase est la plus simple. Pour la simple et bonne raison que vous n'avez pas encore votre masque.
Chose qui change dès que vous aurez besoin de ramasser quelque chose, ou encore de découper du grillage/crocheter un cadenas ou une serrure. Il vous faut passer en mode d'attaque, si je puis dire. Une fois le masque enfilé, pas de retour possible. C'est haut les flingues, et les passants qui vous croiseront appelleront rapidement la police. Et là, il va falloir faire vite.
Car une fois la menace identifiée, les forces de l'ordre s'équiperont en fonction de votre façon de répliquer. Les gardes et les policiers de banlieue ne sont pas un problème en soit, mais dès que les SWAT ou les Forces Spéciales de l'Armée arrivent, les choses se corsent. Car si l'IA n'est pas forcément le truc à retenir, les ennemis sont très agressifs, et en nombre sont très dangereux.
Cependant, face à une opposition comme cela vous n'êtes pas non plus démunis, notamment grâce au système de classes. Il est donc possible de choisir un des quatre "métiers", à savoir Cerveau, Exécuteur,Technicien et Fantôme.
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| De gauche à droite: L'Exécuteur, le Cerveau, le Fantôme et l'Ingénieur. |
Chacun a sa spécialité: influencer les otages, négociation, attaque, hack des terminaux, inflitration et propose différentes capacités à travers un arbre de compétences. Celui-ci permet de débloquer des atouts très utiles à votre braqueur, moyennant de l'argent et des points de compétence.
Chaque arbre de compétence permet aussi de débloquer des gadgets bien utiles, tels que la trousse de soin, le pack de munition, le brouilleur électronique, la tourelle automatique...
Toujours au niveau des customisations, des armes se débloquent avec les niveaux. A vous d'économiser pour vous payer fusils d'assaut, fusils à pompes, pistolets-mitrailleurs...
Il est également possible de débloquer des accessoires pour ces armes, à la fin de chaque mission achevée. Un choix à faire parmi trois cartes pourra vous offrir une amélioration, un nouveau matériau pour créer vos masques, de l'argent ou encore de l'XP. Croisez les doigts.
Différents scénarios sont disponibles, ainsi que deux types de missions : Braquage ou Fuite.
Si le premier reprend les classiques bijouteries, banque, musée.... le deuxième, beaucoup plus énergique vous fera vivre une course-poursuite avec les forces de l'ordre ou une armée de malfrats, en vous trimballant des sacs de drogue, ou des œuvres d'art. Il faudra donc une bonne coordination d'équipe afin de sortir vivant de ces épopées modernes, qui s'adaptent à votre agressivité pour vous envoyer des vagues de plus en plus résistantes.
Au niveau des graphismes, rien de magnifique, c'est dans la moyenne sans relever le niveau des prods indépendantes actuelles.
Lors des assauts, il arrivera qu'un de vos camarades soit trop blessé et tombe. Il sera dans un état de "Baroud d'Honneur" à la COD4, à terre sans pouvoir se déplacer, mais armé de son pistolet. A vous d'aller le relever, sans quoi il sera coffré. Les otages pris lors de ces actions vous permettront de négocier avec la police, et relâcher votre compère.
Au final, Payday 2 offre de par son concept un excellent défouloir en équipe, et avec plein de nouveautés ajoutées à chaque mise à jour (très fréquentes).
Je vous le conseille vivement, ne serait-ce que pour vivre le frisson du "Everybody freeze, this is a hold-up".
Note: 15.5/20
Chaque arbre de compétence permet aussi de débloquer des gadgets bien utiles, tels que la trousse de soin, le pack de munition, le brouilleur électronique, la tourelle automatique...
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| Parfois des dossiers seront disponibles concernant l'opposition attendue. |
Toujours au niveau des customisations, des armes se débloquent avec les niveaux. A vous d'économiser pour vous payer fusils d'assaut, fusils à pompes, pistolets-mitrailleurs...
Il est également possible de débloquer des accessoires pour ces armes, à la fin de chaque mission achevée. Un choix à faire parmi trois cartes pourra vous offrir une amélioration, un nouveau matériau pour créer vos masques, de l'argent ou encore de l'XP. Croisez les doigts.
Différents scénarios sont disponibles, ainsi que deux types de missions : Braquage ou Fuite.
Si le premier reprend les classiques bijouteries, banque, musée.... le deuxième, beaucoup plus énergique vous fera vivre une course-poursuite avec les forces de l'ordre ou une armée de malfrats, en vous trimballant des sacs de drogue, ou des œuvres d'art. Il faudra donc une bonne coordination d'équipe afin de sortir vivant de ces épopées modernes, qui s'adaptent à votre agressivité pour vous envoyer des vagues de plus en plus résistantes.
Au niveau des graphismes, rien de magnifique, c'est dans la moyenne sans relever le niveau des prods indépendantes actuelles.
Lors des assauts, il arrivera qu'un de vos camarades soit trop blessé et tombe. Il sera dans un état de "Baroud d'Honneur" à la COD4, à terre sans pouvoir se déplacer, mais armé de son pistolet. A vous d'aller le relever, sans quoi il sera coffré. Les otages pris lors de ces actions vous permettront de négocier avec la police, et relâcher votre compère.
Au final, Payday 2 offre de par son concept un excellent défouloir en équipe, et avec plein de nouveautés ajoutées à chaque mise à jour (très fréquentes).
Je vous le conseille vivement, ne serait-ce que pour vivre le frisson du "Everybody freeze, this is a hold-up".
Note: 15.5/20
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