lundi 27 mai 2013

Test: Metro Last Light (2013)

Hello friends :D

Je vous parle aujourd'hui d'un jeu tout récent, à savoir Metro: Last Light.

Pour la petite histoire, le jeu fait suite à Metro 2033, qui était une petite perle à  sa sortie.


L'histoire se déroule dans les années 2040 en Russie. A Moscou pour être précis. Un holocauste nucléaire a embrasé la surface du globe (sans que personne ne sache comment et pourquoi ), rendant cette dernière inhospitalière. Les survivants trouvèrent refuge dans le réseau souterrain du métro (ça  y est, vous commencez à comprendre hein :D ), et s'y établirent, créant des communautés dans les stations. 
Se partagent ainsi le réseau différentes factions (les communistes, les nazis, les capitalistes, neutres...). Votre faction, les Rangers de Sparta est un corps d'élite d'éclaireurs, qui connait les tunnels come la surface sur le bout des doigts (preuve en est la plupart reviennent au bercail sans trop d'accrocs).

Vous incarnez Artyom, un ranger de Sparta (nouvellement promu suite aux événements de Metro 2033).
La destruction des Dark ones a peut-être été sa plus grande erreur. Cependant un espoir subsite car il n'aurait pas tué tous ces télépathes dangereux. Le voilà parti dans une quête de rédemption visant à sauver le Metro.
Nul besoin de vous dire de quelle faction il s'agit. Si ?

Comme dans tout univers post-apocalyptique où il est question de radiations, il faut aussi des mutants. Que vous retrouverez pour la plupart à la surface (bien que certaines espèces aiment se terrer dans les couloirs sombres du métro). Finis les gentils chienchiens, voilà des Rôdeurs, ou des Nosalis, quant ce ne sont pas des Démons qui vous traqueront sans pitié. 
La chaîne alimentaire est déréglée, et bien souvent les bestioles verront en vous leur prochain repas. A vous de les éviter, en vous cachant, ou en faisant parler la poudre.
La devise locale est toujours la munition militaire, qui vous permettra d'acheter munitions et upgrades pour vos armes.

En parlant des armes, un des charmes de la licence Metro est son aspect "artisanal". J'entends par là que la production de nourriture et d'armes s'est éteinte avec l'ancien monde, forçant la poignée de survivants à rivaliser d'ingéniosité pour pouvoir se défendre et subsister. Vous aurez donc accès à un arsenal inédit d'armes pneumatiques, de mitraillettes bricolées à la va-vite, et si vous êtes chanceux, aux armes les plus increvables que l'Homme ait jamais créées, à savoir la série des Ak.
Vous n'aurez pas tout le temps un si beau fusil, ne vous habituez pas !

Votre équipement sera aussi home made, avec une dynamo qui permet d'alimenter votre torche et votre vision nocturne, quand ce n'est pas des panneaux d'accès.

Vous vous en doutez, les radiations ont rendues l'air de la surface irrespirable. D'où l'intérêt d'avoir un masque à gaz. Lequel peut être endommagé pendant les combats. Il faudra aussi penser aux filtres de rechange, denrée rare mais essentielle sous peine d'asphyxie. 
La vie a repris son cours, et les habitants du Metro se déplacent comme ils peuvent.

Au niveau du gameplay, Metro: Last Light reprend avec brio ce qui avait fait le  succès du premier opus, à savoir un FPS où l'exploration et la survie sont au premier plan. Les niveaux sont semi-ouverts, il sera donc possible d'arriver à certains endroits par différents chemins (et de passer au-travers de groupes d'ennemis, ou de tous les tuer).
Le métro russe  et la surface regorgent de cachettes à découvrir (bien souvent des dernière carrés d'hommes qui ont essayés de braver le danger et qui ont échoués). Ces dernières vous offriront munitions, kits de soins voire dossiers secrets forts utiles pour comprendre les machinations qui se trament dans les sombres tunnels.
Des armes rares peuvent ainsi être dégotées, voire des clins d'oeils à l'histoire (j'ai découvert par mégarde le tombeau de Lénine, en poursuivant une bestiole)
Ce pauvre bougre n'aura pas fait de vieux os. Ou pas.

Pour résumer, Metro: Last Light marche sur les pas de son aîné sans beaucoup innover, mais a le mérite de proposer un scénario original,dans la continuité, et qui correspond bien au survival FPS indépendant actuels. Je vous le conseille fortement, et n'oubliez pas le premier épisode Metro 2033 !
On adore:

  • la bande-son flippante.
  • les graphismes,encore plus beaux. 
  • les boss assez fun.

On aime moins:

  •  l'IA toujours aussi raplapla pendant les combats
  •  le Ranger Mode en DLC (et non pas inclus dans le jeu d'origine).

Note: 15/20

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